Originaire des Antilles, Philippe PILOTIN, âgé de 60 ans, marié et père de famille, a passé une grande partie de sa jeunesse en Martinique et en Guadeloupe, avant de partir en
mission au bout du monde : Côte d’Ivoire, Sénégal, Djibouti… Autant de missions opérationnelles auxquelles il a pris part au sein de l’Arme des Troupes de Marine de l’armée de terre.
Au mois de juin 2020, cela fera quarante deux années qu’il vit en Métropole. Licencié en droit, il a fait carrière dans l’armée française au sein des Troupes de Marine et jouit depuis 2001, d’une pension de retraite militaire, après avoir passé 23 ans à servir la France dans bien des endroits du globe.
Aujourd’hui, il occupe un poste de fonctionnaire au sein du Ministère des Armées, mais Philippe PILOTIN se défend avant tout comme poète, écrivain, auteur-compositeur, collectionneur, animateur et présentateur radio/télé.
Philippe PILOTIN est un homme passionné de culture et de musique. Auteur de plusieurs ouvrages (17 au total) sur les orchestres de la Caraïbe et de deux recueils de poèmes et de la création du magazine « Top Nouvelles« . Il est aussi l’auteur de nombreuses chansons. Philippe PILOTIN est aussi un grand collectionneur, toujours à la recherche de l’objet rare dans les brocantes. Il chine souvent à Paris et sa proche banlieue mais parfois en province quand le temps le lui permet. Il possède une impressionnante discographie musicale d’artistes de la Caraïbe, ainsi que de nombreux objets d’antan.
Après avoir officié sur deux radios bien connues des Antillo/Guyanais et autres régions françaises d’Outre-Mer (Média Tropical, actuel Tropic FM) et Espace FM) , il a été animateur à « Mizik Tropical » puis à « ACI » (Première télévision antillaise d’Europe créée à Paris), « OM 5TV » et « UBIZNEWS/OM5 TV« .
Philippe PILOTIN est à l’origine du fameux « Ki divini yo ?« . Pour le bien-être de la communauté et bien au-delà, il proposait à titre gracieux de nombreuses expositions musicales (Disques vinyles 33 tours, 45 tours, 78 tours, 30 cm, cartouches, cassettes audio, articles de presse d’antan, magazine, photos, objets du passé, différentes sortes d’appareils audio (Cartouche, gramophone, phonographe à pavillon, poste à galène, transistor, radio cassette, DAT, CD, magnétophone à bande et à cassette, etc, et notamment des centaines de partitions de musique antillaise datant du début du siècle dernier, des instruments de musique, des vêtements, des photos, etc… ayant appartenu à des grands noms de la musique antillaise (Stellio, Léardée, Mavounzy, Louis-Boislaville, Sylvio Siboud, Ti Marcel Louis-Joseph, Al Lirvat, Moune de Rivel, Jenny Alpha, Gérard La Viny, Barel Coppet, Félix Valvert, Roger Fanfan, Sam Castandet, Ti Emile, Alphonso, etc…). Philippe détient le premier enregistrement sur disque de la toute l’histoire de la musique antillaise (il s’agit d’un disque 78 tours 2 titres, enregistré chez Odéon par Stellio, le 16 octobre 1929)) à travers toute l’île de France.
Depuis quelques années, il est aussi concepteur d’émissions pour la télévision. On lui doit : « Qui m’aime me trouve« , « Casse tête créole« , »La phrase qui tue« , « Kannari bokay« , « Masculin féminin« , diffusés via le met ou le câble en France (Métropole et Antilles), Afrique et océan Indien. Il a été aussi à l’origine des premiers jeux d’été (Jeux des activités patronales aux Antilles) dans le château de Gisors dans l’Eure.
Il a été le présentateur vedette des émissions « Migan tropical« , « Horizon créole« , « 2 mots 4 paroles » et « Le saviez-vous« .
Un rêve demeure au plus profond de lui-même : la création du premier musée de la musique de la Caraïbe, afin de sauvegarder le beau et précieux patrimoine culturel et
musical qu’il a réuni au fil des années, sans oublier les nombreux instruments de musique et vêtements ayant appartenu à de grands noms des Antilles-Guyane.
Aujourd’hui, Philippe envisage de créer sa propre télévision. A cette fin, il est à la recherche des partenaires pour susceptibles de soutenir son projet. Mais ce boulimique de travail est aussi mobilisé sur la sortie d’un nouveau magazine. Très actif sur les réseaux sociaux, particulièrement Facebook, où il poste un grand nombre d’informations en tous genres et notamment des rappels de faits historiques, des hommages (Hommes ou femmes vivants ou disparus), sur les propriétés médicinales des plantes et des maladies, etc.